Bras - Douleurs, fractures, malaises, inflammation, rigidité... Pourquoi ?

Le bras est la partie du membre supérieur comprise entre l’épaule et le coude et est constitué par l’humérus

 

Les bras représentent ma facilité à embrasser la vie, à donner et recevoir, ma capacité à accueillir les nouvelles expériences de vie et à agir. Je les utilise pour toucher et pour  serrer, pour exprimer ma créativité, mon potentiel d’action et mon amour. Je peux entrer en  contact avec les gens, m’approcher d’eux et les accueillir dans mon univers. Je leur montre  aussi que je les aime avec joie et harmonie. À cause d’eux, je passe à l’action, je fais mon  travail ou je m’acquitte de mes obligations. Mes bras communiquent et expriment donc mes  attitudes et mes sentiments intérieurs. Les bras sont très proches du cœur et ils sont reliés à celui-ci. Ainsi, les gens sentent que l’amour et l’énergie émanent de mon cœur lorsque je  suis ouvert. Chaque main renferme un centre d’énergie, situé dans la paume, qui représente  un des 21 centres d’énergie mineurs (ou chakras). Les deux centres d’énergie des mains sont  reliés directement au cœur. Ainsi, mes bras permettent une extension de mon cœur et  d’aller porter de l’amour physiquement et énergétiquement. Les bras me permettent de me  défendre et de me protéger contre les attaques extérieures. C’est pourquoi, si je croise les  bras instinctivement, je me protège, je me ferme à certaines émotions qui ne me  conviennent pas. 

 

Les malaises aux bras sont reliés à la difficulté à agir et à manifester l’amour dans ce  que je fais, dans mon travail ou dans mes actions de tous les jours. C’est un blocage d’énergie,  une retenue m’empêchant de faire quelque chose pour moi-même ou pour autrui. Un  malaise peut provenir d’une situation que je vis et qui réveille une souffrance reliée aux  interdits ou au fait d’avoir été jugé dans le passé, principalement par mes parents. Je peux  vouloir emprisonner quelqu’un ou quelque chose avec mes bras, ou le « serrer de toutes mes  forces » afin d’avoir un certain contrôle. Au contraire, j’ai peut-être dû laisser aller des  personnes que j’aime et je ne peux plus les rassembler ou les protéger maintenant (tout  comme l’oiseau qui protège ses petits sous ses ailes). Je peux vivre un conflit par rapport à une personne que je considère comme « mon bras droit ». Je vis une situation où j’ai reçu  une « gifle en pleine figure ». Je peux alors sentir de la rigidité musculaire, de la douleur  ou de la chaleur (inflammation). Mes bras deviennent moins mobiles et plus tendus, mes  articulations (épaules, coudes), plus douloureuses. Je sais que le rôle de mes bras est leur  capacité à prendre les nouvelles situations et les nouvelles expériences de ma vie. Je suis  peut-être en réaction vis-à-vis d’une nouvelle situation ; je ne trouve plus mon travail  motivant ; je suis découragé, frustré ou irrité parce que je ne parviens pas à m’exprimer  convenablement, ou parce que j’ai de la difficulté à réaliser un projet. Une situation que je  qualifie « d’échec » pourra s’extérioriser par une douleur ou une fracture aux bras. J’ai le  goût de « baisser les bras » vu mon impuissance. Ce sont généralement les os de mes bras  qui seront affectés lorsque je ne suis plus capable de faire aussi bien qu’auparavant une  activité professionnelle ou sportive dans laquelle j’excellais. Je n’arrive pas à prendre les gens  que j’aime dans mes bras ; je refuse de reconnaître que j’en ai plus qu’assez d'une situation  qui est néfaste pour moi (en avoir plein les bras). « Ça brasse dans ma vie39 ! » J’ai à  « casser la routine » et si je refuse de voir ce que j’ai à changer dans ma vie, je pourrai  devoir aller jusqu’à me fracturer ou me casser le bras pour comprendre. En général, avoir  mal aux bras signifie que j’en prends trop. C’est peut-être aussi quelque chose que je ne  prends pas ou que je refuse de prendre. Je peux même aller jusqu’à repousser une personne  ou une situation dérangeante, soit physiquement soit émotionnellement. Je crée ainsi un  espace qui m’aidera à me sentir plus en sécurité et sous contrôle. Je n’ai peut-être plus envie  de communiquer avec les autres au niveau du cœur, je doute de toutes mes capacités à  réaliser quelque chose. Aller de l’avant dans la vie me semble difficile. Donc, au lieu de tendre  les bras comme le fait un bébé pour montrer son besoin d’être caressé, touché, en relation  avec les gens qu’il aime, notamment sa mère et son père, je rejette l’univers qui m’entoure. Je  me ferme en croisant les bras pour mieux me protéger. Je vis une dualité entre accepter qu’on vienne vers moi ou refuser qu’on m’approche : je veux donc ainsi repousser. Il peut  s’agir de quelqu’un que je peux percevoir comme négatif ne correspondant pas à moi, à mes  valeurs ; il peut aussi s’agir de quelque chose de positif (comme l’abondance) que je refuse  car j’ai l’impression de ne pas le mériter. Les douleurs sont donc une manière inconsciente  de montrer que je souffre. J’ai peut-être à « lâcher prise » à « laisser aller », une situation ou  une personne que je veux « retenir » à tout prix. Une difficulté avec l’autorité peut se  manifester dans le bras droit, tandis que ce sera mon bras gauche qui sera affecté si je vis  un conflit à exprimer mon amour et ma gentillesse. Les hommes ont une tendance naturelle à  vouloir surdévelopper les muscles de leurs bras qui sont un symbole de force et de puissance,  ce qui dénote leur difficulté et leur résistance à exprimer l’énergie du cœur et le côté  douceur. Au contraire, des bras plus minces et faibles m’indiquent une timidité dans  l’expression de mes émotions et une résistance à laisser couler l’énergie. Je me retiens de  plonger dans la vie et d’en profiter au maximum. Mes bras correspondent plus à mon  expression intérieure. Mes avant-bras, eux, sont reliés à l’expression extérieure, le « faire ». C’est le début de la réalisation d’un désir. « Je retrousse mes manches » et je passe à l’action ! 

 

La douceur présente sur le côté interne de mes avant-bras, manifeste ma sensibilité et je  peux avoir des hésitations avant d’exprimer physiquement des choses dans l’Univers ou de  choisir la façon dont je vais réaliser mes projets. J’ai peut-être à changer mes habitudes ou  ma façon de faire et cela m’est tellement difficile, en raison de ma rigidité, que mes avant bras vont aussi se raidir. Est-ce que je m’implique, est-ce que je mets en avant des choses  dans ma vie ? Dans quelle mesure est-ce que je m’ouvre à moi-même et aux autres ? Ai-je  l’impression que j’ai de la difficulté parfois à « enlacer » ou « embrasser » certaines situations  ou personnes qui m’entourent ? Jusqu’à quel point ai-je peur de me rapprocher des gens ? 

 

Une situation me dérange tellement que je suis sur le poing d’exploser ! Si je me retiens de  m’affirmer de peur de conséquences, je risque de me fracturer l’avant-bras. Le gras du  bras est situé en vis-à-vis de la région du cœur. Lorsqu’il est en excès, il y a un  débordement du cœur qui est gardé secret en soi, une peur à exprimer son amour

 

Lorsqu’il est décharné et maigre, suis-je capable d’accepter l’amour venant des autres ou  ai-je tendance à m’isoler ? Dans les deux cas, il y a quelque chose à réviser dans ma façon de  donner ou de recevoir de l’amour. Est-ce que je retiens trop pour que rien ni personne ne  m’échappe ? J’en fais plus qu’il est nécessaire pour me faire aimer. Est-ce que je veux trop  protéger les autres ou est-ce que je me sens moi-même en danger ? Une irritation cutanée  au niveau du bras est reliée à une frustration ou à une irritation dans ce que je fais ou ne fais  pas, dans la manière de m’exprimer et dans ce qui peut m’arriver à la suite de l’intervention  des autres. Quant au bras contusionné, il m’indique combien je me traite durement ou que  j’ai l’impression que les gens me traitent durement et sont sans pitié. 

 

 

Comment évoluer ?

 

En ouvrant mon cœur et mes bras, j’accepte une ouverture à la vie et je suis en  mesure de donner et de recevoir positivement. 

 

J’accepte de manifester plus d’amourdans ce que je fais, m’investir, m’ouvrir avec  confiance aux autres, serrer dans mes bras avec amour et affection les gens que j’aime  (l’image du père qui serre son fils en témoignage d’amour). Je me rappelle que l’action de  serrer quelqu’un est souvent thérapeutique. J’estime mes belles qualités de communication,  de tendresse et d’ouverture. Je place mon attention sur les activités intéressantes. Je  m’habitue à voir les bons côtés de toute situation. Je le fais en réalisant que c’est merveilleux,  que je suis mieux que je ne le pensais. Je me change les idées car j’en ai besoin. Je « retrousse  les manches » et je vais de l’avant, laissant aller ce qui n’est plus bénéfique pour moi et  laissant venir à moi tout ce qu’il y a de plus beau. J’accepte la vie « à bras ouverts » ! 

 

L’hypnose peut vous aider en ce sens.

 

Inspiré du livre : Le grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel

 


L’hypnose ne remplace en aucun cas un avis ou traitement médical. Seul un médecin peut poser des diagnostics et est habilité à prescrire, modifier ou supprimer un traitement médical. Au cours d’une consultation, aucun diagnostic, ni aucune prescription médicale ne seront effectués. Toute question médicale doit être posée à votre médecin traitant